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☞ “Information wants to be free”

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Cake day: June 27th, 2023

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  • Social media erupted with bewildered reactions from attendees. Some praised the band for forcing a conversation about surveillance that most people avoid, while others expressed discomfort with the unexpected data capture.

    Unlike typical concert technology that enhances your experience, this facial recognition system explicitly confronted attendees with the reality of data capture. The band made visible what usually happens invisibly—your face being recorded, analyzed, and potentially stored by systems you never explicitly agreed to interact with.

    The audience split predictably along ideological lines. Privacy advocates called it a boundary violation disguised as art. Others viewed it as necessary shock therapy for our sleepwalking acceptance of facial recognition in everyday spaces. Both reactions prove the intervention achieved its disruptive goal.

    Your relationship with facial recognition technology just got more complicated. Every venue, every event, every public space potentially captures your likeness. Massive Attack simply made the invisible visible—and deeply uncomfortable. The question now isn’t whether this was art or privacy violation, but whether you’re ready to confront how normalized surveillance has become in your daily life.






















  • that would mean the death of street photography. Do you have any sources for those cases?

    photographing in public space is still a right. There are exceptions, but they are understandable.

    Ainsi, la simple captation d’une image dans un lieu public ne suffit pas à autoriser sa diffusion, surtout si cette diffusion peut porter atteinte à la dignité ou à l’intégrité de la personne photographiée. Le droit à l’image en France se distingue par son approche stricte.

    Contrairement à d’autres pays, où la captation d’images dans des lieux publics peut être plus tolérée, le législateur français a choisi de protéger de manière rigoureuse la vie privée des individus.

    Par conséquent, toute photographie d’une personne identifiable sans son consentement préalable peut engager la responsabilité civile du photographe, qui peut être contraint à des réparations pour le préjudice subi par la victime

    it very much depends on the context.

    https://consultation.avocat.fr/blog/murielle-isabelle-cahen/article-2969238-a-t-on-le-droit-de-photographier-des-inconnus-dans-la-rue.html

    1. Les limites du droit à l'image
    
    Bien que le droit à l'image soit un principe fondamental, il existe certaines exceptions qui permettent une captation et une diffusion d'images sans le consentement préalable de la personne photographiée. Ces exceptions sont généralement liées à des intérêts publics ou à des contextes spécifiques :
    
    - Les lieux publics et le droit à l'information : Dans les espaces publics, la captation d'images est souvent permise, notamment dans le cadre d'événements d'intérêt général (manifestations, cérémonies, etc.). Cependant, même dans ces cas, la diffusion de ces images peut être soumise à des conditions strictes. Par exemple, la diffusion d'une image prise lors d'un événement public ne doit pas dénaturer le propos ou porter atteinte à la réputation des personnes présentes.
    
    - Les personnes publiques : Les personnalités publiques, telles que les politiciens, les artistes ou les sportifs, bénéficient d'une protection moins stricte de leur droit à l'image. En effet, leur statut entraîne une certaine forme de renonciation à ce droit lorsqu'ils apparaissent dans des contextes liés à leur activité professionnelle. Toutefois, cela ne signifie pas qu'ils sont dépourvus de droits ; toute exploitation commerciale de leur image nécessite souvent une autorisation.
    
    - L'usage artistique : Dans le cadre de la création artistique, certaines œuvres peuvent utiliser des images de personnes identifiables sans leur consentement, à condition que l'œuvre ait un caractère artistique et ne porte pas atteinte à la dignité de la personne représentée. Cette notion est cependant sujette à interprétation et peut donner lieu à des litiges.